Notes du Navigateur 01. La Montée en Puissance

Voici la première des Notes de Navigation. Mes excuses pour le retard dans l’envoi de ce premier message. Il me fallait mettre en ordre un certain nombre de choses dans mon quartier de navigation avant de pouvoir voguer plus loin: cartes astronomiques et tables de cycles lunaires, etc.

Quant au rythme que je souhaiterais adopter au cours de ce voyage, je propose d’envoyer des Notes de Navigation tous les jours Fibonacci de chaque cycle lunaire: 3, 8, 13 et 21. Commençant le troisième jour et passant le cinquième.

Merci à tous ceux qui m’ont envoyé des clips et des liens. Je suis en train de les évaluer et j’en présenterai certains dans les prochaines notes avec mes commentaires. Je dépend de vos observations et de vos indices et je vous remercie de faire votre possible pour qu’ils soient afférents à notre voyage.

Dans la métaphore nautique, j’ai dit que le Vaisseau-Mère est en train d’initialiser tous ses systèmes internes de navigation durant la période du 24 juin au 28 juillet (deux jaillissements d’apogées). Ces systèmes incluent les moyens de communication tout autant internes qu’externes (en direction du Plérome, le port d’attache), les turbines, les moteurs à vapeur et les voiles et les moteurs de mémoire. Elle est en train de tester ses systèmes afin d’être prête pour la montée en puissance. Durant cette période, vous pouvez en faire de même: à savoir réviser ou découvrir ce que je vous ai envoyé à ce jour. Voici le liens correspondants:

– Introduction aux essais subséquents à la correction de Sophia.

– Gaïaspora.

– Toutes les causeries listées sur le site Telestai.org ou sur le site de Thomas Mallon, Grok-the-Talk.

Tout ce qui est ci-dessus présenté n’est pas nécessaire pour s’orienter durant ce voyage maritime nocturne mais tout est disponible au cas où vous en ayez besoin.

Comme petit travail, je demande à chacun de regarder ce clip sur l’imagerie de l’espace perçu par Hubble.

Ce clip présente des photographies spectaculaires et des exemples tout autant spectaculaires d’arrogance scientifique et d’ignorance au fil des commentaires. Par exemple, la prétention de connaître où l’univers se termine, quel est son âge, etc. Egalement les prétentions concernant la vitesse de la lumière et le phénomène du redshift (le décalage vers le rouge) qui sont actuellement démolis par la science de la cosmologie des plasmas, une science totalement en phase avec la vision Sophianique.

L’apprentissage de l’astronomie constitue, bien sûr, l’une de vos responsabilités à bord. J’ai toujours affirmé que l’astronomie dont nous avons besoin pour voguer avec la planète est simple et élémentaire. Il n’est nul besoin de vous remplir la tête avec les nombres que les scientifiques utilisent ou d’intégrer leurs notions fantastiques d’origine et d’ordre cosmiques. Restez-en à ce qui fait du sens. Je dirais, par exemple, que cela fait extrêmement du sens de dire que l’Univers ne commença jamais. C’est un événement sans origine. Gardez cette idée à l’esprit et contemplez là avec émerveillement. Imprégnez-vous de cette notion fantastique et ignorez totalement les bavardages vains des experts qui sont tenues de justifier leurs titres et leurs jobs par des affirmations ridicules en prétendant qu’ils savent quand l’univers a commencé!

L’astronomie qui est demandée aux membres de l’équipage est simple et directe, quelque chose qu’un étudiant de lycée puisse facilement maîtriser. Elle est également participative et vérifiable par la perception sensorielle directe. Il vous est cependant nécessaire de visualiser le système planétaire au sein du bras galactique. C’est l’imagination imaginative et visuelle primordiale requise pour ce voyage. Dites moi si je puis vous aider à cet égard. Nous n’aurons pas recours à des modèles ou à des simulations informatiques sauf d’une manière prévisionnelle et transitoire. Ces instruments prosthétiques sont un obstacle à la participation directe dans les dynamiques des physiques Gaïennes.

Vous êtes invités à une expérimentation fabuleuse en laquelle une métaphore opérera tel un treuil: le treuil vous tire dans les gréements du navire. La métaphore du voyage de Gaïa dans les mers étoilées – qui bien sûr est plus qu’une métaphore – vous permet d’exercer votre imagination du voyage dans l’acte même d’amener ce voyage à la vie. Je suis en train de partager avec vous une découverte capitale de ma vie mystique et Gnostique: la correction de Sophia, lorsqu’elle se manifeste, lorsqu’elle s’initialise finalement, est un événement astronomique à vivre en temps réel sur Terre et à vivre d’une manière telle que nous tracions en imagination son déploiement; et, simultanément, le déploiement géophysique et astronomique se révèle prouvant que ce que vous imaginez est vrai, authentique et réel. Et que tout cela peut être partagé et célébré et, dans une certaine mesure, conçu et décrit.

Mon objectif, d’ici janvier 2012, est de présenter dans les Notes de Navigation un tableau intégral de la correction. Cela ne veut pas dire que je puisse prédire comment la correction va se déployer. Je ne le peux pas. Et je ne peux pas non plus en prédire le processus mais je peux tracer la trajectoire de la correction en naviguant par les étoiles en compagnie du Vaisseau-Mère. Ce faisant, je peux pourvoir les éléments imaginatifs que vous puissiez intégrer dans votre propre vie au fil du voyage.

La dynamique de Gaïa est vaste et rapide. 108 jours de temps humain représentent une seconde de sa conscience, une seconde de durée Eonique. La vastitude de son attention est telle qu’en une seule seconde, elle englobe tout ce qu’un mental humain puisse accomplir en 108 jours au potentiel optimum de son attention. La correction se déroule sur environ 1080 jours à partir du 19 mars 2011. Cela veut dire environ trois années. 10 secondes pour la mère animale planétaire. Elle réalise sa correction en 10 secondes et, ensuite, la Terre maintient la course qu’elle s’est donnée. Faire partir de l’équipage, c’est vivre ce processus en toute conscience et de réaliser et d’appréhender, à la fois imaginativement et astronomiquement, comment elle fixe sa course, comment elle navigue, comment elle louvoie dans les courants galactiques, comment elle règle son compas en fonction de certaines étoiles-pilotes, comment elle emmène tout le système solaire avec elle, toute la flotte…

Notre tâche est de suivre la correction seconde par seconde. A partir du 19 mars 2011, la correction a commencé son compte à rebours: 10 secondes, 9, 8…

Le 5 juillet 2011 était le jour 108 après le début de la correction. La fin de la première seconde. Depuis ce jour-là, nous sommes dans la seconde 9 et nous progressons.

Imaginez juste ce que l’on ressent, comment cela se joue: de vivre en correction avec Gaïa-Sophia, une seconde à la fois.

C’est tout pour aujourd’hui. Bon voyage.

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Post-scriptum: Témoignage Inuit de Transformation Planétaire

Mon commentaire. Le soleil se lève et se couche quelque part ailleurs, le pôle s’est déplacé. Le vent du nord utilisé pour l’orientation visuelle des congères de neige a laissé place au vent du sud et le vent prévalent vient maintenant de l’est.

Imaginez un bateau à voiles louvoyant dans des mers déchaînées. Ce faisant, le mât se balance. Il ne pointe pas vers un endroit fixé dans le ciel mais il oscille. J’ai dit qu’avec le correction, Gaïa se dirige vers le sud plongeant dans les cieux méridionaux. Elle descend légèrement dans le flux galactique d’étoiles en se dirigeant vers Canopus dans Argo Navis. Le vent du sud s’accroît et remplace le vent du nord dans les régions les plus polaires du nord où les peuples Indigènes peuvent observer ce changement.

En même temps, ils rapportent un vent prévalent de l’est. La direction de l’est, en termes du Vaisseau-Mère, est le port (côté bâbord du navire). Du témoignage Inuit, je déduis que le Vaisseau-Mère est en train d’adopter une course nouvelle d’inclination sud dans les mers étoilées, plongeant dans le courant, et virant légèrement à bâbord en relation au mouvement propre du soleil. En d’autres mots, le louvoiement actuel la fait s’éloigner du coeur galactique, qui est toujours à tribord, étoilement parlant. Le louvoiement actuel amène le Vaisseau-Mère dans la direction du bord extérieur du bras galactique marqué par Centaurus, visuellement à la droite ou à l’ouest de Canopus.

A propos, Canopus ne peut pas être observé dans l’hémisphère nord au dessus de 20°N de latitude, ou environ. Cette observation n’est donc pas fondée, je vais vérifier. Nous allons compter sur les membres de l’équipage de l’hémisphère sud pour garder un oeil sur Canopus.

10 juillet 2011