Legs d’un Terton free-lance
1976 à 1986: Alchimie et Amour
Lorsque je repasse en vue les années qui ont suivi mes premières rencontres avec la Lumière Organique, je m’aperçois que je poursuivais, alors, une investigation que je n’avais pas réussi à définir en termes clairs et concluants. Le Mystère me mit au défi de m’y engager avec une question. Mais, tel Perceval, je ne réussissais pas à formuler la question adéquate afin de la poser à la Lumière Organique. Je ne savais pas même quelles questions j’aurais pu poser au sujet de la Lumière. Mais le Mystère perdura car il s’était implanté dans ma vie. Tant bien même la question à poser restait, en grande partie, embryonnaire et non formulée, j’incarnais cette question dans le cours de mes expériences. J’appelle cette méthode “l’ingénuité du simple d’esprit”. Selon les contingences de la Quête du Graal, celui qui accède à ce trésor doit poser une question sans y être incité et sans être instruit au préalable quant à la nature de la question ou quant à la manière de la formuler. Au contraire de la devise des scouts “toujours prêt”, la devise de la Quête du Graal pourrait être “jamais prêt”. Et je ne l’étais certainement pas. Lire plus