Mirroir, Mirroir sur le mur, quelle est la plus belle de toutes?
Magique Mirroir sur le mur, qui possède le plus de mémoires authentiques?
J’ai découvert ce qui est appelé l’Effet Mandela, en juin 2016, après avoir noté un certain nombre de liens arrivant sur mon canal YT – depuis alors deux mois. En quelques jours, il me devint évident que ce phénomène était digne d’une sérieuse investigation. Et, huit mois plus tard, ma conclusion est des plus affirmatives: exceptionnellement digne. Qui plus est, il se peut que cela soit le phénomène qui amorce, et catalyse, un “éveil” attendu, depuis fort longtemps, sur cette planète – de façon totalement exceptionnelle et unique.
Je suis, bien sûr, au fait des quelques voix, en faction, insistant sur l’émergence en cours d’un éveil collectif de masse – et si c’est le cas, tant mieux. Mais je vous invite à considérer que l’Effet Mandela introduit, et induit, l’orchestration d’un signal directionnel exceptionnel dans le cadre d’un événement global d’éveil – en lui ajoutant de l’élan et en l’orientant dans une certaine direction. Avant de lancer cette investigation, je dois mettre en exergue les propriétés interactives de cet Effet: la qualité de l’attention, que vous allez lui conférer, détermine ce qu’il peut générer en votre mental et impacter en votre vie. Géré correctement, il peut vous donner d’autant plus en retour que vous lui consacrez plus d’intérêt.
Je souhaite préciser que j’ai éprouvé certaines réticences, au tout début, à lui prêter une quelconque attention. Tout comme tout un chacun, gardant quelques graines de bon sens, je me suis demandé si l’Effet Mandela ne serait pas une ultime, et soporifique, opération psychologique spéciale – propagée au travers du vide cybernétique. Mais, dans ce cas, par qui et dans quelle intention? L’un de mes amis me suggéra que cela pourrait être “une embrouille archontique” – en référence au terme archonte que j’ai introduit sur Internet vers 2002 – un facteur paranormal en jeu dans l’Effet et, potentiellement, à sa source. Les parasites mentaux extraterrestres, décrits dans les enseignements Gnostiques, étaient-ils en contrôle de l’internet en manipulant les codes source pour semer la confusion, le chaos et la division?
Ainsi que mes investigations vont le mettre en exergue, il existe effectivement un facteur paranormal en jeu dans l’Effet Mandela. Est-ce une ruse archontique calculée pour nous rendre fous? Le projet de démons qui orchestrent des jeux mentaux pour accomplir un programme sinistre? L’oeuvre du Diable lui-même?
Donc, pour le facteur paranormal que j’admets dans ce cas, je vais préférer employer le terme “Surnaturel”. Mais qu’est le Surnaturel? Et pourquoi prend-il une majuscule comme Dieu, Bouddha, Allah et la Vierge Marie? Peut-on l’identifier avec Satan? Dans l’esprit de nombreux Chrétiens, qui s’intéressent à l’Effet Mandela, c’est Satan qui provoque l’Effet pour tester la foi des vrais croyants et perpétuer la Grande Duperie. Une telle interférence Satanique constituerait, certainement, un problème sérieux pour l’humanité si Satan existait vraiment – et, même, encore plus sérieux s’il n’existait pas!
Dans mon cycle de 10 essais écrits/audio sur la Mythophrénie en action, j’ai consacré beaucoup de temps à écrire et à parler afin de détruire toute notion erronée et paranoïde concernant Satan, Lucifer, le Diable et des puissances démoniaques, diverses et variées, supposées prendre des créatures humaines comme proie. J’insiste sur le fait que presque tout ce qui a été enseigné, quant au Surnaturel, est erroné – que vous le croyez ou non. Cela étant, il est impératif d’éradiquer, du mental humain, les “fichiers corrompus” concernant Satan et Lucifer afin de libérer de l’espace-disque et accueillir une interprétation qui, à ce jour, est entièrement absente du débat couvrant l’Effet Mandela. J’élimine les théories d’interférence paranormale, ou Satanique, en me fondant sur des considérations à examiner au fil de cette investigation. Ces théories d’interférence incluent également les allégations selon lesquelles Lucifer, et des entités Lucifériennes, seraient à l’origine de ce phénomène.
Et – ce qui est essentiel pour cette investigation – je recadre l’identité de Lucifer afin d’expliquer la nature réelle du “porteur de lumière”. Et c’est l’Effet lui-même qui m’invite, pourrait-on dire: « Lucy, tu nous dois bien quelques explications!». Il faut, en effet, proposer quelques explications au sujet de Lucy. Le thème Lucy/Lucifer est l’un des messages les plus charmants – et les plus libérateurs, si je puis me permettre – encodés dans l’Effet. Un peu de patience, car il y en a beaucoup.
Education Supérieure
En sus d’aborder les problématiques complexes concernant les dimensions paranormales et surnaturelles de l’Effet Mandela, j’ai également posé des questions quant à la possibilité de provoquer, par des manipulations technologiques au sein des plate-formes médiatiques – et surtout Google – des modifications dans les logos industriels, des noms de célébrités, des passages bibliques, des paroles de chansons bien connues, des dialogues de films, des titres de films, des noms de marques commercial, etc. De telles manipulations, du code-source, sont-elles techniquement possibles? Je présume que quiconque accorde de l’intérêt, à l’Effet Mandela, a déjà examiné cet angle du sujet. Imaginez des dizaines de milliers de trolls – entassés dans les cellules cubiques des enclaves massives de Google réparties sur la planète – payés pour oeuvrer, en collaboration intime avec les organismes d’Etat à trois lettres (les suspects habituels), en tapant sur des claviers, nuit et jour, afin de générer de bizarres altérations: tel que Berenstein versus Berenstain, tel que Sex in the City versus Sex and the City. Il vous faut demander qui pourrait entreprendre un tel projet titanesque et méticuleux. A quel prix et dans quel but?
Je sais que nombreux sont ceux qui vont affirmer que l’Effet Mandela n’est qu’une psy-op (une opération psychologique spéciale) à traiter comme telle. Mais si c’est le cas et si l’intention de cette psy-op est d’embrouiller les gens, de les rendre confus afin d’éliminer leur jugement de bon sens, je me demande si une telle sinistre dynamique ne serait pas quelque peu superfétatoire? Les gens ne sont-ils pas, déjà, totalement confus? Et quant à remettre en doute leurs propres capacités de jugement, n’est-il pas évident que les facultés basiques de discrimination, et de discernement, sont déjà à ce point lésées, chez la plupart des individus, que des offensives supplémentaires ne pourraient pas vraiment empirer la situation!
Les théories attribuant l’Effet Mandela à Satan, ou aux trolls de Google, partagent la même supposition selon laquelle l’Effet est pervers, nuisible et trompeur. Au fil de mes investigations, j’ai découvert que c’était le contraire: c’est un phénomène bienveillant et dynamisant, une aubaine pour l’humanité en crise et même un soutien pour sortir de la folie – plutôt qu’une attaque mortelle. Je suis en cours de développement de toute un corpus de matière démontrant comment l’Effet Mandela signale l’initiation d’un événement de supra-Instruction. L’Effet peut être considéré comme un tour d’essai pour mettre en place cet événement et pour y inviter les participants. C’est pour cela que je propose un examen d’entrée – comme ce qui est requis pour des cycles d’éducation supérieure.
Aujourd’hui, c’est un défi fabuleux, et exceptionnel, de découvrir l’opportunité présentée par l’Effet Mandela – et d’apprendre comment en tirer des bénéfices.
Gardez à l’esprit que je n’écarte pas le facteur d’ingérence humaine dans l’Effet Mandela mais j’ai de bonnes raisons pour affirmer que l’agence principale, produisant ce phénomène, est non-humaine et supra-humaine, une agence du Surnaturel. Et je peux le prouver, du moins je vais le tenter.
Reliquats et Archives Courantes
L’intention que j’ai – pour les essais et les audios que je vais présenter au travers de la Mythophrénie en action – est de vous accompagner, au fil des étapes que j’ai parcourues, afin de déterminer comment l’Effet Mandela opère et ce qui le génère. Ce faisant, je mets mon investigation en place, de manière complètement transparente, en procédant en quatre phases: Déclinaison, Analyse, Décodage, Conclusion. Vous allez voir que je place une très grande importance sur la manière de déterminer si les exemples d’Effet Mandela sont authentiques et vérifiables – et non pas faux, inventés, imaginés ou ambigus. La vérification du phénomène, comme une authentique révélation de vie – et non pas une illusion – est dépendante de l’explication de cas authentifiés permettant d’en révéler le fonctionnement…
Mes investigations démontrent qu’un petit échantillonnage de tous les cas présumés d’Effet Mandela – environ 10 à 15 % – sont authentiques dans la mesure où ils peuvent prouver comment l’Effet opère et, même, ce qui l’induit. Je vous demande de bien noter cette distinction. Je ne veux pas signifier que la vaste majorité des cas ne soient pas authentiques et qu’il faille les éliminer. Pas du tout. Comme je vais l’expliquer, les cas optimaux (5-10%) sont porteurs d’un message d’amplitude universelle: ils convient le mental humain vers une perspective transcendante de la vie dans le monde. Les autres, dans leur vaste majorité, possèdent la fonction de captiver l’attention humaine mais sans l’orienter d’une manière spécifique. Ma sélection de cas valides est rigoureuse et fondée sur des critères que je vais expliciter en détails – incluant une grande dépendance sur des reliquats qui se distinguent des archives courantes.

Reliquat est le terme employé pour désigner la validation d’un cas, de l’Effet Mandela, tel qu’il est remémoré avant qu’il ne soit produit: validation, par exemple, du nom Sally Fields en contraste avec Sally Field. Dans les archives courantes conservées par divers média (incluant des impressions, des photographies et des ressources virtuelles, le nom que vous allez trouver est Sally Field. Mais dans un interview de YT de fin de soirée, où elle est invitée, vous entendez clairement l’hôte l’introduire en tant que Sally Fields. C’est un reliquat – certainement, mais quel type de reliquat. C’est ce que je vais appeler un reliquat palimpsestique – qui se réfère à un “palimpseste”, un manuscrit, ou morceau de parchemin, sur lequel les inscriptions ont été effacées afin d’être remplacées, subséquemment, par d’autres écrits.
Veuillez bien remarquer ce point: une actrice des USA, qui apparut dans une émission télévisée de soirée, en 1979, fut annoncée en tant que Sally Fields – un reliquat de son nom avant l’Effet. Et aujourd’hui, vous pouvez retrouver ce reliquat sous la forme d’un dossier digitalisé sur YT. Ce dossier digitalisé est issu d’une séquence filmée originale et la conversion requiert un certain nombre d’étapes. Ce que vous obtenez, finalement, c’est la preuve d’un nom avant l’Effet, un reliquat – mais un reliquat dans un artéfact palimpsestique consistant de plusieurs niveaux d’écrasement ou de manipulation électronique.
Si l’Effet Mandela est une psy-op générée par la manipulation de code-source, dans divers media électroniques, alors il serait possible, en effet, de modifier toutes les traces du nom de cette actrice afin que cela soit cohérent avec ce changement de nom en Sally Field. Par exemple, la fiche Wikipedia sur le film Forrest Gump – qui présente un Effet Mandela amplement débattu – liste Sally Field dans les génériques. C’est une preuve dans les archives courantes, pour sûr, mais il se pourrait que ce soit une preuve surajoutée, insérée par des manipulations complexes du code-source.
Je concède que je n’ai pas le contexte, ni la formation, de supputer l’amplitude de telles manipulations potentielles mais je ne doute pas que cette amplitude pourrait être vaste au vu de la situation de l’Intelligence Artificielle, de nos jours. Il a été prouvé, récemment, qu’un interview de Julien Assange, supposé avoir été réalisé après sa disparition au début de l’octobre 2016, en présenta un simulacre avatarique – un mannequin virtuel en cellulloïde. Assange n’était pas du tout présent durant l’interview. De même, un film tourné avec Heath Ledger – qui décéda avant que le film ne soit achevé – a recours à une substitution virtuelle – par images générées virtuellement – dans ses scènes. Il en fut de même avec Oliver Reed, dans Gladiator, et sans doute avec un grand nombre d’autres exemples beaucoup moins connus.
Avec une telle technologie de génération d’images virtuelles, il serait certainement possible de produire un vaste éventail d’Effets Mandela et, par conséquent, il serait justifié de les éliminer comme de simples arnaques. Ce serait la solution de facilité pour éviter de confronter ce qui se passe réellement au sein de l’Effet Mandela – et qui laisserait des questions légitimes sans réponses. Par exemple, pourquoi laisser des reliquats que l’on peut retrouver sur internet et dans les médias électroniques?
Un beau pétrin ou un sale pétrin?
Maintenant, il est clair que je me donne un énorme défi à relever: comment expliquer qu’une agence surnaturelle puisse se manifester à l’humanité au travers des média électroniques? Ce faisant, j’observe étroitement les rapports et les découvertes relatifs à l’Effet Mandela dans deux sphères. Les phénomènes de l’Effet Mandela sont, avant tout, annoncés sur l’internet, de manière virtuelle; mais ils se manifestent également, cependant, dans la vie réelle, indépendamment de la zone virtuelle, de manière matérielle. Par exemple, quelqu’un dut découvrir que le nom de la chaine de magasins Home Depot s’est métamorphosée en The Home Depot. Il détecta le changement dans le monde réel, en conduisant dans un mall, ou à une autre occasion, lorsqu’il était physiquement présent au changement produit par l’Effet.
Le changement de nom d’une société, ou un changement du logo qui lui est associé, est matériel. Dès que ce changement est reporté sur Internet, il devient virtuel. Dans cette investigation, cette distinction est cruciale.
Il est crucial d’observer le changement matériel en contraste avec les rapports virtuels le concernant – ou le rapport virtuel d’un changement virtuel. L’élaboration de ces distinctions, cas par cas, peut devenir une tâche très laborieuse et s’avérer une épreuve de sobriété et de santé mentale. En m’attribuant cette tâche, je suis très conscient de ses difficultés intrinsèques. Les nuances et les complexités d’une étude sobre, et rigoureuse, de l’Effet Mandela sont vraiment intimidantes. Par moments, la déconstruction et l’analyse du phénomène frise le plongeon dans une piscine d’encre de Chine.
Je dois concéder que parfois, durant mes recherches, lorsque je sentais ma tête vagabonder, j’ai été tenté de me tourner vers la mystérieuse “Source” de l’Effet afin de protester: «tu m’as encore plongé dans un beau pétrin», ou bien «dans un sale pétrin». [note du traducteur. Voici le texte anglais original qui a rapport avec un Effet Mandela potentiel. «Well, that’s another fine mess you’ve gotten me into» ou bien est-ce «nice mess?»]
Quelle est la différence? Je dirais que le décodage de l’Effet Mandela est un “fine mess” (dialogue original des comiques Laurel et Hardy) plutôt qu’un “nice mess” (dialogue modifié par l’Effet Mandela – maintenant prouvé dans les archives historiques). Pourquoi? Parce qu’un pétrin “fine” nécessite de la finesse, peut-être même une intuition poétique. Un “fine mess” requiert une finesse de discernement, une investigation attentive et un calme mental. Quant au “nice mess”, il est au-delà de toute remédiation: c’est un problème d’ignorance et d’obtusion. Le mot anglais “nice” vient de l’ancien français “nice” (stupide, maladroit, etc.) et du latin “nescius” pour ignorant – ne/scire, ne pas savoir. Ce mot confère, originellement, un sens de manque de connaissance ou de défaut de compréhension.
Dans le cas de la citation de Laurel et Hardy, le palimpseste de preuve virtuelle découvert dans des vidéos, sur Internet, ne montre pas la version écrasée, un “fine mess”. Du moins, pas à ce que je sache. Cependant, une investigation soutenue a permis de découvrir des reliquats imprimés sous la forme d’un brevet US déposé en 1993 afin de protéger l’expression “ANOTHER FINE MESS” pour une impression de T-shirts.
Pour autant que je sache, les versions des sketchs de Laurel et Hardy que vous trouvez dupliquées en format vidéo, en ligne, présentent la ligne altérée, “a nice mess”. Mais cette preuve dans les archives courantes est uniquement virtuelle. Dans le duplicata YT de l’épisode original intitulé “Another Fine Mess”, Ollie dit (à 5:49), “Another Nice Mess” même si les génériques d’ouverture ne présentent pas cette phrase, mais l’autre. L’audio du clip contredit ce qui est écrit dans le titre. Mais, vraiment, ne serait-il pas possible aux trolls de Google de changer les audios, de manière technologique, en mettant des paroles différentes dans la bouche d’Ollie, ou bien aussi de moduler/photoshoper le texte des génériques d’ouverture.
A noter que je n’implique pas que l’Effet Mandela soit du, principalement, à de la manipulation digitale ou à quelque inconcevable et baroque forme de trucage par technologie informatique – loin s’en faut. Mais je conseille la prudence pour tous ces exemples qui pourraient être falsifiés, d’une manière ou d’une autre.
Tout autant les génériques d’ouverture, en duplicata virtuel, des originaux en pellicules, que le contenu tapé à la machine d’une requête pour un brevet US, présentent des reliquats concrets permettant de prouver qu’un Effet Mandela s’est manifesté. Mais cette preuve est aussi virtuelle, palimpsestique. Ce n’est que dans une pellicule originale de film, datant des années 1930, que l’on pourrait découvrir une preuve matérielle de première main et de grande valeur. Par exemple, si l’on trouve une bobine dans le coffre d’un vieux grenier. Visionnez la bobine et écoutez Ollie dire “another fine mess” et vous aurez une preuve du dialogue original. Et un très bon exemple pour mettre en exergue une manipulation des média virtuels – en contraste avec une pellicule originale qui n’aurait pas été altérée.
Tout cela fait-il du sens? Je l’espère. Mais attendez et prenez en considération le point suivant. Visionnez la bobine et écoutez Ollie dire “another nice mess” et là, c’est encore tout autre chose. Wow. Vous auriez une preuve matérielle d’un changement produit par l’Effet Mandela dans le médium originel. De telles preuves ont déjà été découvertes, dans le cas du logo de Ford, par exemple – et pour n’en nommer qu’un parmi des douzaines.
Tous les Indices du Monde
Le cas de cette transformation dans le sketch de Laurel et Hardy – dépendant peut-être du type d’attention que vous lui prêtez, ainsi que nous venons de le suggérer plus avant – est assez clair. Mais, comme il arrive souvent avec l’Effet Mandela, une preuve dans un cas peut soulever des doutes dans un autre cas – générant des ambiguïtés. Prenez en considération les nombreux exemples de changements de noms de marques – JIFFY devient JIF, KIT-KAT sans tiret, Depend plutôt que Depends – qui sont très nombreux dans les archives courantes. Ces cas sont restreints à une preuve virtuelle tant que l’on ne peut pas en amener de preuves matérielles: par exemple, une boite réelle de JIFFY. Ou un emballage de confiserie avec le tiret (comme je m’en souviens).
S’il existe des preuves irréfutables qu’une agence surnaturelle, capable d’effectuer des changements matériels, opère réellement dans l’Effet Mandela, comment pouvons-nous le vérifier? Cela dépend. Il nous faut étayer les preuves, à la lois virtuelles et matérielles, avec une finesse Gnostique, en gardant à l’esprit cet aphorisme:
«Tous les indices du monde sont sans valeur lorsque l’on ne connait pas la nature du crime».
Signaux et Indices.
Je n’ai pas l’intention de trop prolonger cette introduction en couvrant les diverses définitions et catégories que j’ai élaborées au cours de cette investigation. Vous pourrez trouver tout cela, phase par phase, dans les exposés subséquents concernant l’Effet Mandela.
Je pense, cependant, qu’une instruction adéquate requiert une orientation vers la matière du sujet fondée sur une définition claire de l’intention. Histoire de se mettre à l’unisson. Souhaitez-vous, réellement, savoir ce qui induit l’Effet Mandela et comment il fonctionne? Dans ce cas, je vais assumer que vous souhaitez, réellement, en connaître l’objectif. A cette fin, une définition initiale provisoire de l’intention peut servir d’outil herméneutique.
L’Effet Mandela est un signal directionnel composé de cinq vecteurs, ou positionnements, guidant l’attention humaine de cinq manières différentes:
1. Vers la source de l’Effet – universel.
2. Vers le processus de décodage – spécifique aux investigateurs. L’Effet possède une source et un objectif mais il ne peut pas accomplir cet objectif sans les recherches des investigateurs qui peuvent le décoder en se fondant sur la reconnaissance de cette source.
3. Vers un défaut collectif dans le mental humain – social
4. Vers une dynamique d’implication unique à chaque observateur – la pertinence personnelle des signaux et des indices.
5. Vers ce qui se manifeste dans des expressions subséquentes de l’Effet – l’événement de supra-Instruction
J’indique ici, brièvement, quelques vecteurs d’orientation à développer au cours de cette investigation. Prenez note du fait que l’Effet Mandela se propage, de manière simultanée, au travers de différentes sphères d’intérêt humain: l’universel, le social, le personnel. De plus, l’Effet Mandela peut être démontré comme contenant les signaux et les indices permettant de le décoder. C’est comme un message crypté contenant certaines lignes sélectionnées de code vous informant comment en déverrouiller le cryptage. Dans certains indices et signaux, l’Effet Mandela pointe vers lui-même. Cette caractéristique étonnante de l’Effet est clairement évidente dans le signal de Forrest Gump: “Life is > WAS like a box of chocolates” – “La vie est > ETAIT telle une boite de chocolats”.
Je vous prie de prendre un moment afin d’observer l’outil de transcription que je propose ici: en indiquant la version précédente (occultée) en gras et en indiquant le changement par la flèche avant > suivie de la version attestée par les archives courantes (occultante) en capitales. Par exemple: KIT-KAT > KITKAT, Depends > DEPEND, Sally Fields > FIELD, etc.
La Source de l’Effet dépend du fait d’être détectée. A cette fin, elle insert des indices de décodage dans les signaux qu’elle transmet dans le champ du mental humain. Ce phénomène est hautement interactif. Il requiert des investigateurs capables, avant toute autre chose, de reconnaître qu’il s’agit de la Source et, ensuite, de décoder les signaux sur un mode que tous les peuples du monde entier puissent appréhender et apprécier – en fonction de l’amplitude de leurs facultés.
Le défi de décoder l’Effet Mandela requiert, très certainement, un certain QI. Ou, pour mieux dire, un certain niveau de PSYQ, ainsi que je l’ai expliqué dans l’examen d’entrée. Quel est votre PSYQ? Il vous faut le tester afin de continuer plus avant avec cette investigation en tant qu’investigateur – un fin limier du Surnaturel. Mais tout un chacun, développant un intérêt authentique pour ce phénomène, peut prendre plaisir au processus d’investigation, quels que soient leurs résultats dans l’Examen – qui n’est pas évalué, de toutes manières, comme je l’ai explicité.
Le plaisir constitue un facteur essentiel dans l’apprentissage concernant l’Effet Mandela. Vous aurez, peut-être, remarqué que les deux exemples que j’ai cités, dans cette introduction, dérivent du genre de la comédie: j’aime beaucoup Lucy et Laurel et Hardy. Dans mon essai “Wicked Wit”, je décris l’élément de soulagement comique au sein de l’Effet Mandela.
Finalement, pour donner un bref aperçu de deux problématiques essentielles que je n’ai pas abordées, dans cette introduction – le CERN et les changements dans les écritures Bibliques – soyez assurés que je vais les couvrir, en profondeur, au fil de cette investigation.
Que le décodage commence! De plusieurs centaines de cas, je sélectionne un échantillonnage de données que je soumets ensuite à l’analyse afin de déterminer si et comment chaque phénomène peut être encodé par un message de quelque sorte. En suivant ma méthode, vous pouvez tirer vos propres conclusions quant à l’authenticité du processus de validation que je viens de développer, publiquement, devant vos yeux. Je ne cherche pas à imposer mes analyses de l’Effet Mandela sur quiconque. Je ne souhaite pas, non plus, convaincre quiconque de la validité de mon approche et de ses résultats. L’authenticité de cette investigation doit se positionner en ses propres termes.
Puisse votre attention être enthousiasmée par la vérité.
Février 2016