Humour Espiègle: Soulagement Comique dans la Correction de Sophia

Ce présent essai est le septième d’une séquence Mythophrénique de 10 essais, rédigés entre octobre 2015 et octobre 2016, dont certains sont accompagnés d’un audio.

Dans mon essai, “Son Nom est Silence”, j’ai décliné quelques variations sur le thème de l’intervention divine. C’est un sujet fascinant qui est propre à toutes les cultures et à toutes les périodes de l’Histoire. Une pléthore d’exemples pourrait être donnée mettant en exergue comment, au fil des âges, diverses cultures ont imaginé l’irruption du Surnaturel, du Nagual, dans le monde ordinaire, le monde du Tonal. La spéculation et la superstition abondent – en toute prodigalité et grotesque – dans les très nombreuses prophéties et prédictions corrélées à la croyance (stipulée de manière traditionnelle) selon laquelle Dieu peut ouvertement déployer son intervention dans les affaires du monde.

Les attentes et les prophéties d’intervention divine génèrent, souvent, des mouvements sociaux. Dans mon ouvrage de 1991, “The Seeker’s Handbook”, j’ai analysé différents exemples de folie divine qui surgit lorsque les gens attendent un événement soudain révélant la volonté de Dieu et initiant la fin du monde et “l’Ascension”. Dans mes causeries concernant le Sabotage Gnostique, je me suis plongé dans le plus célèbre scénario de fin du monde, l’Apocalypse qui présente la prophétie de Jean le Divin. L’historien Juif, Norman Cohn, a examiné ce que l’on appelle les cultes millénaristes – ou cultes chiliastiques – dans son ouvrage de 1957, “The Pursuit of the Millennium: Revolutionary Millenarians and Mystical Anarchists of the Middle Ages”. De nombreuses autres études pourraient être citées.

Le point-clé réside, ici, dans la croyance selon laquelle l’intervention divine possède des implications massives pour l’Histoire. Elle a été souvent considérée comme l’événement décisif dans l’Histoire en promettant le renversement intégral de l’ordre social, la vengeance de Dieu, la glorification des fidèles, la damnation des pécheurs, etc. En cohérence avec cette tendance de longue date, j’affirme que la Correction de Sophia est un événement dont on peut percevoir le déroulement dans l’Histoire – en fait, juste maintenant, à ce moment historique précis. Dans une vision globale, la Correction comprend environ dix aspects ou dix dimensions; cependant, les aspect historiques et surnaturels en sont les éléments les plus éminents et les plus exceptionnels. Le thème de l’intervention divine conduit directement au plus profond de la complexité, de la perplexité… et de la pure absurdité. Je vous garantis que vous serez sagement guidé au travers de ce territoire et que vous ne perdrez pas votre chemin si vous vous focalisez sur ces deux facteurs, à savoir les dimensions historique et surnaturelle.

On pourrait dire que la Correction entre en pleine vigueur – selon des modes qui ne peuvent pas même être niés par le mental collectif – lorsque ses aspects historiques et surnaturels fusionnent et opèrent co-dynamiquement. Je médite sur cette projection, continuellement, en me demandant comment cela pourrait se manifester. Ce dont je suis sûr, c’est que la Légende du Graal joue un rôle-clé dans cette fusion en raison de la manière dont elle positionne le facteur surnaturel au sein d’une narration sociale. Je continuerai d’aborder ce point dans des causeries subséquentes.

 

Intrusion Extraterrestre

Les Juifs ont, perpétuellement, promu le thème millénariste – et l’on peut remonter, loin dans le temps, jusqu’aux prophéties de Daniel, d’Isaïe et d’Ezéchiel. Les prophéties Juives de l’Ancien Testament ont établi, sans nul doute, le paradigme de l’intervention divine qui a le plus affecté la psychologie humaine et la civilisation même. Ce paradigme pose comme postulat la puissance suprême d’un créateur et juge extraterrestre, il dépend du cadre de la théocratie et il affirme que l’intervention ultime se manifeste à un moment historique précis du temps linéaire. L’entremise surnaturelle de Dieu impacte l’Histoire, à partir de l’extérieur de ce monde, et dirige le cours des affaires humaines en fonction de la conclusion orchestrée par la volonté divine.

“L’esprit révolutionnaire Juif”, comme il a été appelé, opère à partir d’un programme insidieux de renversement social sous le faux prétexte de rendre le monde meilleur. L’idéal Juif de “tikkun olam”, la réparation du monde, n’est pas du tout le programme bienveillant qu’il prétend être. Son objectif réel est d’orchestrer la domination Juive intégrale sur les Goyim, les nations non-Juives, et de centraliser toutes les richesses et tous les pouvoirs au coeur de l’élite Juive – telle que la mafia criminelle des Rothschild. La trajectoire de l’Histoire, au cours des trois millénaires, démontre que les Juifs ont été fondamentalement impliqués dans la corruption et la destruction de nombreuses civilisations. Ces Juifs particuliers, qui fomentent les révolutions et promeuvent le renversement social, poursuivent leur programme pour orienter l’Histoire vers leurs objectifs – tout en prétendant représenter les objectifs du Dieu Tout-Puissant. Tout autant pour les Zaddikim que pour les Juifs Talmudiques, l’Histoire est un processus en lequel l’intervention divine est perpétuellement en cours au sein de l’ordre social – les Élus agissant en tant qu’agents de Dieu.

Le concept de l’intervention messianique, dans le Judaïsme, est strictement historique. Il est clair depuis la création de la secte des Zaddikim décrite dans la Genèse. La date historique, attachée à cet événement, est 1850 avant EC. Un événement décisif se manifesta, au 17 ème siècle, lorsque la population Juive du monde entier passa par une crise messianique qui altéra, profondément, l’image de soi du Peuple Élu. L’apparition du messie Sabbatai Zevi fit vaciller le monde Juif et divisa son peuple en feux factions: ceux qui l’acceptaient et ceux qui ne l’acceptaient pas. Cela prit environ un siècle, depuis l’époque de Sabbatai Zevi (1666), pour que la dynastie financière des Rothschild surgisse et se mette en place. Le patriarche Mayer Amschel Rothschild établit sa firme bancaire à Frankfort dans les années 1760. Un siècle plus tard, en 1849, les Juifs furent émancipés par Napoléon – un acte qu’il en vint à regretter.

La progression historique récente, de ce qui pourrait être appelé “l’intervention Juive”, est archi claire: 1666 – 1760 – 1849. Il est évident qu’elle est beaucoup plus ancienne mais ces trois dates montrent, de façon poignante, une progression continuelle pour en arriver à aujourd’hui. Les visionnaires Gnostiques avertirent que les Juifs sont les proxies des Archontes. En d’autres mots, ils identifièrent un facteur surnaturel extraterrestre opérant sur l’arrière-scène du programme racial-religieux des Juifs. L’intrusion Archontique, chez les anciens Hébreux, généra l’anomalie de la secte Zaddikim des “Justes parmi les Justes” et se propagea dans la base idéologique de la suprématie de la race maîtresse Juive.

MelchizedekVerdun
Autel. Verdun (1181) montrant Melchizedek avec Abraham.

Le parasite Archontique se déguise sous une idéologie religieuse et prétend même être blanc. De nombreux Juifs, de nos jours, passent pour des Blancs, à savoir pour des gens d’ethnicité Européenne ou Aryenne-Nordique-Caucasienne – tels que les Européens de l’est qui incluent la variante “Ashkenazi” de la psy-op (opération psychologique spéciale) relative à l’identité Juive. Les Juifs sont tout sauf des Blancs et appellent ouvertement à l’extermination des races blanches de l’espèce Anthropine. Voir par exemple les vidéos du professeur Juif de Harvard, Noël Ignatiev – dont certaines sont supprimées par YT. pour “incitation à la haine” – dont le moto du site internet titre “Trahir la race blanche, c’est être loyal à l’humanité”.

Pour résumer, aujourd’hui, tout un chacun étudiant la thématique de l’intervention divine, avec sérieux et sobriété, doit prendre en compte le fait qu’il existe une intrusion surnaturelle extraterrestre en cours qui se manifeste, en termes concrets, au sein de l’Histoire et qui est particulièrement évidente dans les ravages du Communisme. Le Communisme est un mouvement programmé, soutenu et orchestré par une cabale maléfique composée de Juifs financiers (que l’on nomme, en tout euphémisme, des globalistes ou des internationalistes) et de leurs complices.

En contrepoint à l’intrusion extraterrestre surnaturelle dans l’Histoire, l’aspect historique de la Correction de Sophia entre maintenant en jeu. Sa correction est un événement surnaturel authentique et non pas une prise de contrôle extraterrestre effectuée par l’entremise de proxies parasites au sein de l’espèce. Il  reste à voir comment sa Correction va impacter les événements de l’Histoire sur cette planète – mais vous n’avez plus besoin de retenir votre respiration. Les résultats et les ramifications deviennent de plus en plus évidents même sur le plan de la conscience publique (rédigé le  9 novembre 2016).

 

Comédie Divine

Généralement parlant, l’intervention divine n’est pas considérée comme se déployant tel un événement comique. Au contraire, c’est un scénario plutôt sinistre dans le mental de ceux qui, avec ferveur, attendent la fin du monde, le jugement de Dieu et la punition des pécheurs. Il existe, nonobstant, certains exemples d’intervention comique qui sont peu connus. Prenons l’exemple bizarre du culte du cargo – le culte de ce qui tombe du ciel.

Le culte de ce qui tombe du ciel est un mouvement millénariste, tout d’abord décrit en Mélanésie, qui comprend un certain éventail de pratiques et émerge suite au contact avec des sociétés technologiquement plus avancées. Le nom dérive de la croyance, qui se propagea parmi les Mélanésiens, à la fin du 19 ème et début du 20 ème siècles, que divers actes rituels – telle que la construction d’une piste d’aviation – résultera en la manifestation de richesse matérielle, et plus particulièrement des marchandises Occidentales hautement désirables (le cargo), par l’entremise d’avions Occidentaux.

Le film de 1980, “Les Dieux sont tombés sur la tête”, évoquait un peuple tribal Africain (Ju’/Hoansi bushmen) vivant, heureux, dans le désert de Kalahari. Ils sont heureux avec leurs croyances selon lesquelles les dieux ont pourvu une abondance de tout et personne, parmi eux, n’est en besoin. Un jour, une bouteille de Coca-Cola tombe d’un avion, au sol, sans se fracasser. Initialement, la tribu suppose que cet artéfact étrange est un don des divinités et ils en découvrent de nombreux usages. Ils le considèrent avec un étonnement religieux comme cela se passe typiquement dans les cultes du cargo. Par exemple, des Indigènes de Bornéo rendaient un culte aux épaves des avions de la seconde guerre mondiale en transformant les tableaux de commande en autels magiques. Mais, éventuellement, le cadeau divin commence à générer des troubles et des désappointements dans leur vie. Le motif de la bouteille de Coke, dans le film, s’inspire du phénomène authentique du culte de ce qui est tombé du ciel. Ce film est une comédie fondée sur une plaisanterie tenant en deux lignes – un exemple rare d’une perspective comique de l’intervention divine.

L’épopée de Dante, “La Divine Comédie” – Divina Commedia, aux environs de 1320 – est ainsi nommée parce qu’elle se conclut sur une note heureuse tant bien même elle narre une pléthore d’événements lugubres incluant des scènes horribles de punition dans l’Enfer – l’Inferno de Dante. Dans l’exégèse de la littérature classique de l’Europe, remontant à Aristote, une oeuvre littéraire de genre comique présente une conclusion heureuse au contraire du genre tragique. Pouvons-nous concevoir la Correction de Sophia comme une comédie se concluant de façon heureuse? La Déesse de Sagesse possède-t-elle un sens de l’humour? Peut-être même, un sens espiègle de l’humour?

En Anglais, les mots “wit” et “wicked” dérivent de la même racine que “wisdom”. En raison de mutations consonantiques, la racine Proto-Indo-Européenne WIZ- se retrouve dans des variations telles que WIT-, WIC- et VID-. Dans les anciennes langues du nord de l’Europe, nous avons “witan”, “wita”, “vita”, “weten”, “wizzan”, “wissen”, etc, qui veulent tous dire “observer, voir, comprendre, apprendre…” Tous ces mots sont dérivés de la racine PIE “*weid-” pour vision. Un terme Sanskrit corrélé est “vidya” qui signifie sagesse, à savoir l’équivalent de Sophia en Grec. Le suffixe -ya en Sanskrit signifie “dans ou selon la condition de”. Vidya réfère donc à la condition de weid-, de wit – une qualité d’humour qui dan ce cas est espiègle. Et l’espièglerie est la caractéristique des sorciers et des sorcières qui pratiquent la sorcellerie.

Ces racines “*weid-” et “vidya” sont donc à l’origine des termes Anglais “wisdom, wizard, wit, wicked, witch”, etc, mais aussi des termes Latins et Français “vidéo, videre, voir, vision, visionnaire”, etc. Ainsi que des termes “guides, guidance”, etc, en raison d’autres mutations consonantiques, dans ce cas l’équivalence/transmutation entre g et v/w dans les langues Européennes du nord.

Qui plus est, le terme “histoire”, et tous les mots de cette famille, viennent du Grec “ístor” (ῐ̓́στωρ) venant  des termes PIE *wéydtorcelui qui sait, une personne sage, et donc originellement “*weid-”.

 

Kitsch de Goule

Abramovic
Une artiste de scène Juive, Marina Abramovic, vint à l’attention du public, en 2016, en association avec les événements “Spirit Cooking” qu’elle met en scène pour les politiciens et les tenants du pouvoir dans l’Etablissement. Durant des dinners élaborés, les socialites de New-York plongent leurs fourchettes dans des truffes en aspic servies dans le torso éviscéré d’un mannequin. Abramovic se promeut avec des photos sur lesquelles elle siège, royalement, sur un monceau saignant de morceaux d’animaux – ou peut-être des organes et des membres humains (réels?). Pour des tarifs élevés, elle émoustille sa clientèle avec des fantaisies de cannibalisme – ce qui amène certains à se demander si elle ne fait pas réellement office de grande prêtresse initiant certains individus dans des rites sataniques.

L’image-cliché d’une sorcière hideuse au nez crochu et au visage couvert de verrues, et ricanant de jubilation malsaine en jetant un sort sur quelqu’un, est du pur kitsch Hollywoodien. Un tel cliché dérive d’une longue tradition de désinformation, concernant la sorcellerie, propagée par les idéologues Catholiques et Protestants dans leur bataille à l’encontre des formes Indigènes de “culte de la Nature”. Si vous voulez contempler l’image véridique d’une sorcière maléfique, essayez celle-là:

Personnellement, je ne pourrais pas qualifier de sorcière une telle vile créature. Je réserve ce terme, comme un titre de respect, pour les femmes qui révèrent la vie et la beauté. Abramovic est un monstre, une goule – pas une sorcière. Son art scénique est du kitsch Juif qui frise le meurtre réel pour film pornographique. Elle est la soeur, en art, du réalisateur Eli Roth dont la série de films Hostel pourrait bien avoir mis en scène, pour un public sans méfiance, des tortures et des meurtres réels. Qu’il l’ait fait ou non, Roth pourrait aisément faire passer un meurtre véritable pour un meurtre prétendu.

Roth, Abramovic, et d’autres trop horribles à nommer, appartiennent au club des goules du kitsch pseudo-surnaturel – qui promeut le sens Juif de la morbidité comme s’il était plein d’esprit, à la mode et distrayant. Ils donnent à la sorcellerie une mauvaise réputation et une apparence dégoutante et morbide. Y a-t-il de réelles pratiques sataniques de cannibalisme et de sacrifice humain orchestrées derrière les rideaux dans ce cas? Peut-être que oui. Cela peut sembler une perspective horrible mais j’affirme que la morbidité de ce vaudeville Juif est déjà, en soi, une démonstration épouvantable de laideur, de dégénérescence et d’obscénité. Pour certaines personnes, dont moi-même en vérité, la laideur déployée est tout autant méprisable que les rituels sataniques supposés dans l’arrière pièce.

ElizabethMontgomery
Elizabeth Montgomery, qui jouait la sorcière bienveillante dans la série de TV, Bewitched (1964 – 1972). Admirez la pureté des Goyim Aryens, l’innocence, l’amabilité – un parangon de la beauté naturelle des femmes de lignages Européens. Elles peuvent, bien sûr, sembler un peu vamp et s’incarner sous d’autres couleurs de peau: nuances Hispaniques, olive Italienne – en de multiples variantes. La sorcière que vous allez aimer sera assaisonnée et colorée en fonction de vos goûts propres.

Je répète ce que je disais déjà, il y a longtemps, à Santa Fe: ce qui a provoqué le massacre des sorcières, en Europe, ce ne fut qu’en partie le fanatisme religieux des chasseurs de sorcières et des hérésiologues  – qui, également, antérieurement, avaient persécuté les Gnostiques et les avaient exterminés. Dans une plus grande mesure, l’assaut contre la sorcellerie fut une réponse pathologique à la beauté et à la dignité de ces Païens qui adoraient la Déesse Terre et vivait en harmonie avec ses voies naturelles.

Les sorciers et les sorcières authentiques étaient alors, et le sont encore aujourd’hui, de magnifiques spécimens de l’humanité, aux manières étonnantes et élégantes, érotiquement attractifs, empreints de plaisir et de sagesse rayonnante. Ils irradient la beauté charnelle et la moralité honnête – ce qui fait honte aux petties gens et peut susciter des envies meurtrières.

Marina Abramovic est une immonde goule Juive, peut-être même un hybride archontique, qui n’est plus humaine – si tant est qu’elle l’ait jamais été. La signature de l’infection archontique, c’est la biophobie, la haine de la vie. Une telle révulsion prospère dans une atmosphère de morbidité et de laideur que la perversion Juive rend mystérieuse et à la mode. La Torah commande (Exode 22:18): «Tu ne souffriras pas que la sorcière reste en vie». Nous avons ici un cas de volte-face amusant: et si le diktat de cette interdiction s’appliquait à Marina Abramovic? Je m’aventurerais à dire qu’un grand nombre d’êtres humains, aujourd’hui, seraient ravis de la voir assassinée, froidement, pour ne pas dire torturée dans l’apothéose grandiose de son art de scène.

 

Le Sauveur Hilarant

Nous allons maintenant laisser de côté l’humour Juif – si on peut le qualifier de tel – et analyser un autre cas étrange de comédie dans l’intervention divine. Pour les Chrétiens, l’exemple suprême de la volonté de Dieu, impactant l’Histoire, est l’incarnation de Jésus-Christ. Cet acte exceptionnel d’intervention culmine dans le sacrifice du Fils de Dieu – pour la rémission des péchés du monde. C’est un sujet assez ardu, pour le moins que l’on puisse dire, mais même cet événement a été décrit avec une note d’humour.

Le Sauveur (Soter) me dit: «Celui que tu as vu sur l’arbre, heureux et riant, c’est le Jésus vivant (I-S ETONE). Mais celui-là dont ils sont en train de percer de clous la chair de ses mains et de ses pieds, c’est le substitut qui est couvert de honte, celui qui vint à la vie tel un simulacre. Regarde-le et regarde-moi».

L’Apocalypse de Pierre, dans les Codex de Nag Hammadi, contient l’une des images les plus scandaleuses et hérétiques du Gnosticisme: le sauveur riant. Les érudits officiels du Gnosticisme, sous l’influence néfaste de leur éducation Judéo-Chrétienne, présument, en toute routine, que le crucifié dans cette scène est identique au Jésus des Evangiles. Cependant, la désignation exacte, I-S ETONE, pourrait être rendue par “Iasius Etone”, le guérisseur à la vie éternelle. Là où les Chrétiens perçoivent Jésus, les Gnostiques perçurent un personnage docétique (Nirmanakaya) qui personnifie et porte une puissance de régénération éternelle et qui ne peut pas être détruit – et il rit face à la mort.

Un autre traité en langue Grecque, qui n’appartient pas aux Codex de Nag Hammadi, “Les Actes de Jean”,  développe une vue similaire en traitant le spectacle horrible de la crucifixion comme une pièce de vaudeville, pour les masses. Ce vaudeville occulte un événement mystique dont la vraie nature n’est perçue que par ceux qui savent – les visionnaires Gnostiques. Au lieu de la scène de torture, le témoin illuminé Jean contemple une danse mystique d’extase. «Ceux qui ne se joignent pas à la danse ne savent pas ce qui se passe». Ce traité était considéré comme tellement blasphématoire que des siècles après qu’il fût mis en circulation, il était encore interdit per de nombreux papes, dont Léo V, et ceux qui en possédaient une copie risquaient d’être brûlés – avec l’ouvrage. Le Second Concile de Nicée, en l’an 787, statua que toute copie existante de cet ouvrage apocryphe, et d’inspiration Gnostique, devait être détruite.

“L’Apocalypse de Pierre”, tout comme les “Actes de Jean”, se situent dans la proche mouvance de l’hybride suspect dénommé “Christianisme Gnostique” que, comme certains d’entre vous le savent déjà, j’évite avec diligence pour me focaliser sur la branche Sethienne du Gnosticisme qui est non-Chrétienne et anti-Chrétienne. Nonobstant, ces deux exemples d’humour Gnostique valent la peine d’être cités de par la manière dont ils illustrent comment la comédie peut s’immiscer dans des actes d’intervention divine.

 

Esprit Sophianique

Pour en revenir à la sorcellerie. Dans le “Sovereign Moment Revisited”, j’ai expliqué que j’avais réalisé une prédiction imprudente, en septembre 2015, que j’avais préféré rétracter ultérieurement: à savoir que j’avais prédit qu’un tsunami de sorcellerie allait déferler sur toute la planète dans l’année à venir. A l’époque, j’avais imaginé cet événement comme se révélant telle une série pour TV, comme Salem, ou des films tel que “The VVitch” (indice subliminal: le V V itch). En fait, ce film possède une intrigue unique qui renforce, positivement, mon intuition de l’époque. L’héroïne est une jeune femme Puritaine, dans l’adolescence, qui n’est pas une sorcière mais qui est constamment suspectée, d’en être une, par ses parents qui sont les témoins d’événements alarmants qu’ils ne peuvent expliquer et dont ils l’accusent d’être responsable. A la fin du film, elle décide d’opter pour ce dont elle est accusée. Si les gens la prennent pour une sorcière, autant qu’elle en devienne une, qu’elle joue le rôle et qu’elle en retire du plaisir.

J’encourage tout un chacun suivant mon traitement des révélations Gnostiques, et de la vision Sophianique de la vie, à imaginer la Mère Animale Planétaire comme la plus puissante des sorcières. Il semblerait que l’un de ses intimes soit apparu sous la forme d’une humble grenouille nommée Pepe. Ce nom, qui résonne de punch, évoque le terme peptide, du Grec “pepton” (pour cuit, digéré) mais aussi la vitalité, avoir du pep. I-S ETONE est plein de pep: il est débordant de super-vie éternelle. L’allusion aux peptides suggère, dans ce cas, un processus catabolique opérant dans l’intime amphibien de la Déesse Terre: “cuit, digéré”. Les peptides contrôlent le métabolisme de la nourriture. Il peut paraître étrange mais adéquat d’imaginer que ce thème de cuisson-digestion puisse s’opposer, en tant que sorcellerie authentique, à “la mentalité de cuisson” de la goule Juive. Ceux qui accusent les Juifs de meurtre rituel affirment qu’ils cuisent et consomment les enfants de Goyim – ainsi que Marina Abramovic, et les gens de son acabit, sont, aujourd’hui, suspectés de le faire derrière le rideau de l’émoustillement théâtral. Son heure est proche et il se peut qu’elle soit, bientôt, cuisinée dans ses propres jus morbides.

La problématique du meurtre rituel, parmi les Juifs, a été prouvée, de façon exhaustive, dans de nombreux procès au fil des siècles. L’un des plus célèbres cas fut le procès Beilis: ce fut le premier procès public légal qui se tint en Russie alors que les Juifs Bolchéviques venaient de prendre le pouvoir. Les Bolches eurent recours au meurtre, à l’extorsion et à la corruption généralisée pour gagner le procès d’un Juif accusé de meurtre rituel à Kiev en 1913. A la même période, Lénine fit de l’anti-sémitisme un crime punissable de mort dans la nouvellement formée URSS.

Que certains Juifs déments torturent et consomment des enfants Goyim – ou non – l’Anthropos est immortel, débordant d’énergie, de vitalité et d’enthousiasme. Pouvons-nous imaginer que – même lorsque la plus grave situation de survie est en jeu – l’humour et les jeux de mots, les allusions visuelles se référant à des logos ou des icones et des modifications simples, comme de modifier l’orthographe des noms, expriment le sens de l’humour de Sophia? Il reste à voir qui sait apprécier le bon esprit de Sophia. La même plaisanterie qui va propulser certaines personnes au sol, dans des convulsions de rire, peut en laisser d’autres froides comme du marbre – lorsqu’elles ont loupé le coche.

Comment la déesse de Sagesse pourrait-elle révéler son sens de l’humour dans l’acte d’intervention divine appelé Correction? Un humour de défi face à la mort? Un humour transcendant – tel qu’on le perçoit dans le sauveur riant sur la croix? Un humour brutal lorsque la morbido de l’animal humain se retourne contre la morbido et la biophobie, dans l’intention d’éliminer les ennemis de la vie? L’humour tranchant des représailles, lex talionis?

A l’automne 2015, mes prédictions quant au tsunami de sorcellerie se déployant sur toute la planète ne purent pas être substantiées. Je voguais sur une supposition intuitive fondée sur quelque chose que je ressentais dans l’atmosphère – mais que je ne pouvais pas détecter sous la forme de signes extérieurs. Et c’est en juillet 2016 que je découvris les preuves étayant mes pressentiments. A mon étonnement, je découvris que le phénomène, se manifestant comme un sens espiègle de l’humour de Sophia, se caractérise par une chronologie similaire à celle du développement du Terma de l’Eveil de Gaïa, à partir d’août 2008. En d’autres termes, l’attention humaine vis à vis de sa sorcellerie se manifesta, en flux et reflux d’intérêts, qui peuvent être retracés sur les moteurs de statistiques de Google. Et le tableau chronologique révéla un parallèle presque parfait avec le Tantra Planétaire, le Terma de l’Eveil de Gaïa et l’Expérimentation de Navigation Gaïenne.

Je concède, bien volontiers, que l’information dérivée des moteurs de statistiques de Google ne puisse pas être fiable. Purement archontique qu’elle est. Nonobstant, Sophia peut utiliser le système des Archontes – incluant tous les niveaux de l’Intelligence Artificielle et des Technologies d’Information – comme elle le souhaite et en fonction des ses propres objectifs. C’est elle qui a généré les Archontes qui ne peuvent rien faire sans l’étincelle d’intelligence Eonique qu’elle leur a prêtée. Par conséquent, elle peut faire ce qu’elle veut avec les systèmes archontiques. Elle peut pirater les Technologies d’Information et les contrôler à ses propres fins.

Curieusement, le tableau chronologique de la vague courante de sorcellerie révèle un parallèle exact avec l’Instruction Gnostique et les éléments du Terma – que l’on peut retracer même avant que le phénomène acquit son nom, durant l’année 2010. C’est réellement troublant et cela valide mon affirmation selon laquelle la sorcellerie de la Mère Eonique – qui jaillit présentement dans la conscience du grand public – rejaillit, en, fait, de son acte initial d’intercession, le Terma de l’Eveil de Gaïa.

Les moteurs de recherches statistiques de Google vous permettent d’analyser en comparant des problématiques, des thèmes ou simplement des mots. Par exemple, veuillez comparer l’orthographe de Theresa and Teresa dans le nom de Mère Theresa. Les résultats de la recherche montrent que les gens étaient déjà en quête de l’orthographe correcte dès 2008 bien qu’un intérêt général prononcé ne fût pas suscité avant deux années plus tard. Theresa, ou Teresa, signifie “récolte” et fait référence aux déesses de l’agriculture telles que Demeter et Kore. Y aurait-il une “récolte mère” en cours? Une récolte par la Mère Eonique qui sélectionne ce qui est viable pour le futur de l’expérimentation divine avec l’Anthropos, le génome humain.

Le rabbin Juif Reichorn, s’exprimant aux funérailles du Grand Rabbin Simeon Ben-Judah à Paris, en 1869, est reporté avoir dit: «Les guerres constituent la récolte des Juifs car c’est grâce à elles que nous éradiquons les Chrétiens et que nous prenons contrôle de leur or. Nous en avons déjà tué une centaine de millions et ce n’est pas encore terminé».

Henry Ford est reporté avoir commenté: «Et nulle récolte n’est aussi riche que les guerres civiles». Etrangement, Ford, ou le logo de/du Ford, figure parmi les tropes de la facétie Sophianique qui révèle, en ce moment, son sens espiègle de l’humour.

De quelle récolte s’agit-il donc?

En conclusion, je ne peux qu’insister à vous inviter à ne pas vous préoccuper de toutes les variations de l’intervention divine et à vous focaliser sur deux: l’intrusion archontique orchestrée par leurs proxies – tous ces Juifs particulièrement obsédés par la domination mondiale – et la présente intervention de l’Eon Sophia, sa Correction par l’entremise de laquelle les événements historiques et surnaturels s’associent et coopèrent. Concentrez-vous sur cette co-dynamique et, ce faisant, n’oubliez jamais que la Correction de Sophia – si cela devient une réalité pour vous – va se révéler elle-même, en toute objectivité et authenticité, par des innovations frappantes, incluant des tropes et des allusions humoristiques – une longue trace d’indices du Petit Poucet. La Correction se présente comme un événement exceptionnel, sans précédents et totalement différent de tous les exemples prêchés d’intercession de la part d’une puissance surnaturelle, extraterrestre et transcendante. Cela va vous faire rigoler comme vous n’avez jamais rigolé auparavant.

“La Mère Eonique prend la main”. Depuis le 8 août 2016, c’est SON Souverain moment, en cours. Elle l’orchestre avec un sens espiègle de l’humour. Loony Toons, c’est proche de Lunar Tunes – les Tons de Lune, les fréquences célestes. Qui sait, Bugs Bunny peut s’avérer être le sauveur riant dans ce film. Gardez un oeil ouvert sur ce lièvre loufoque.

« That’s all, folks. »

10 November 2016.  Andalucia

ME CERN trend.jpg

Ajouté le 30 Janvier 2017.

A noter que la date en-dessous de la barre, 1er avril 2008, fait référence au petit pic juste au-dessus, ressemblant à une secousse avant un tremblement de terre. C’est 5 jours avant le 6 avril lorsque mon initiation de 108 jours commença – amenant au Terma de l’Eveil de Gaïa. Le pic extrême correspond à la période du 5/8 août, exactement lorsque je reçus le Terma. Le Grand collisionneur de hadrons au CERN fut démarré pour la première fois un mois plus tard, le 10 septembre 2008.

Il est évident que ces données sont purement archontiques et non fiables. Cependant, au sein du spectre de données archontiques, on peut clairement détecter des indices quant à la chronologie du Terma. Et les correspondances se prolongent jusqu’au cours de l’année 2016 avec des montées d’intérêt pour l’Effet Mandela à des moments-clés du Terma ou de l’Expérimentation de Navigation Gaïenne.

«Tous les indices du monde ne valent rien si vous ne connaissez pas la nature du crime».